« On joue leur corps » ~ Entretien avec la bruiteuse Élodie Fiat
Jeune bruiteuse travaillant essentiellement pour France Culture, Élodie Fiat nous raconte son métier. Entre technique, jeu et création.
Jeune bruiteuse travaillant essentiellement pour France Culture, Élodie Fiat nous raconte son métier. Entre technique, jeu et création.
Enregistré en 1974, quelques semaines avant le tournage du long métrage cinématographique, la pièce radiophonique « India Song » témoigne du désir sans cesse renouvelé de Marguerite Duras d’en découdre avec toutes les formes possibles (et impossibles ?) du récit dramatique.
Réalisateur sonore, auteur d’ouvrages sur le son et enseignant, Daniel Deshays décrit comment opère et se repère notre écoute face à une situation sonore. Une écoute qui est avant tout une tête chercheuse et désirante.
Avec Cendrine Robelin, nous parlons de filmer la création sonore. Comment créer des images pour des sons ? Mais surtout pourquoi tenter un film sur le geste et le toucher quand on est née avec une souris dans la main ?
En janvier 2012, le cinéaste Guillaume Kozakiewiez est venu à France Culture filmer les enregistrements d’une fiction dirigée par François Christophe. Un document rare, mais questionnant la création de « dramatiques » aujourd’hui.
Félix Blume est preneur de son pour le cinéma. Comme ses confrères et consœurs, il lui arrive de passer des heures après le tournage à enregistrer des « sons seuls ». C’est alors qu’il a eu l’idée de faire de petits films de ces situations étranges.
Si vous suivez l’actualité de la radio, ou du cinéma, ou a fortiori si vous écoutez une station du groupe Radio France, l’information ne vous aura pas échappé : le nouveau film de Nicolas Philibert (La Moindre des choses, Être et avoir…) sort en salles en France ce mercredi 3 avril et s’appelle… La Maison de la Radio.
Il était naturel qu’une alliance de la radio avec les arts ait d’abord rencontré la musique. Cependant, c’est le théâtre qui s’est identifié le premier à un art proprement radiophonique.
Fade, prévisible et formaliste. Le discours d’un roi, le film aux quatre Oscars, est à l’image de tout speech institutionnel ~ du moins lorsque les révolutions ne grondent pas sous les ors des palais. Mais l’intérêt furtif que l’on peut porter à ce biopic béni-oui-oui tient aux deux images qu’il projette de la radio…