On a toute une année pour le lire1 alors, même avec l’excitation d’avoir reçu en primeur le premier numéro de la “revue des mondes radiophoniques et des univers sonores”, ce n’est pas aujourd’hui qu’on en fera une critique en long, en large et en bonne et due forme. Cependant, les premières pages que l’on picore au hasard nous ont déjà fait lever tantôt un sourire, tantôt un sourcil (réflexif) et c’est plutôt bon signe.
Normal qu’elle nous enthousiasme, cette émanation de l’association Longueur d’ondes : nous sommes de ceux qui déplorent le manque d’écrits sur l’art radio ~ d’où l’idée créatrice de Syntone. Celle d’Une larme du diable est de coucher sur papier réflexions et récits, paroles de radioteurs et d’auditeurs, en tentant également quelques transpositions par le visuel.
Pour les personnes qui désirent acquérir ce premier numéro, vous pouvez le faire via cette page ou en vous rendant à partir de demain à Brest, car Longueur d’ondes ouvre son septième festival de la radio et de l’écoute (lire notre article à ce sujet).
1 La revue est à parution annuelle. Signalons aussi, par souci déontologique, que ce numéro 1 comprend un court texte écrit par une de nos plumes.
Bonne continuation