Au carrefour entre la création visuelle et sonore, Rosalie Peeters développe un langage tantôt graphique, tantôt sonore (créations pour la radio ou les arts vivants), tantôt l'un dans l'autre.
Depuis les années 1920, chaque décennie comptait, bon an mal an, une ou deux pièces importantes dans le genre du faux-semblant. À partir des années 2000, on compte les créations par dizaines.