Après la pluie, par Irvic D’Olivier
Après le vent et la pluie, un oiseau.
Après le vent et la pluie, un oiseau.
France Inter, 5ème étage, bureau de l’émission Là-bas si j’y suis. Daniel Mermet prépare avec son équipe une émission sur la fin du monde. Il est 14h30, émission dans 30 min.
Des timbres, des creux, des bosses, des plis, du haut, du large, Hard-corps compose avec les interventions du réel.
Un papa interviewe sa fille. Elle se plie au jeu, rechigne parfois. Et ça fait un bout de temps que ça dure.
Rêve : une femme et sa fille sont prisonnières d’un cylindre de béton encerclé de brouillard. (D’après Heiner Müller)
Surprise lors de l’interview d’un sociologue dans les rues de Brazzaville.
Impression est un voyage dans une machine offset où des paroles s’impriment et se fondent avec les rouages mécaniques.
On a froid est un mash-up de princesses qui se rendent au petit bal perdu. Elles ont froid, et il n’y a qu’un prince.
Le Danger est une petite danse païenne, brute et minimale. Le Danger est un Ex-Voto déposé par ceux que la vie trop calme handicape. Le Danger est une offrande faite par ceux que le danger nourrit.
Cet enregistrement a été réalisé lors du mouvement de contestation Occupy Wall Street. Pour pallier à l’interdiction d’utiliser un système d’amplification pour la voix (sonorisation ou mégaphone), on a développé le principe du haut-parleur humain.
Depuis quelques mois, Syntone a fait le pari de son économie ! Et en grande partie grâce à vous. Nous nous devions donc de vous tenir au courant.
Journaliste à Radio Grenouille durant 10 ans, Xavier Thomas s’intéresse à la question de la relation du son au territoire. Tout au long de l’année 2013, il participe au projet des Promenades sonores, un ensemble de 39 créations radiophoniques dans le cadre de Marseille-Provence 2013, Capitale européenne de la culture.
Suite à son projet de Promenades sonores à Marseille, Julie De Muer a été contactée par Google pour collaborer à une expérience web. Ce partenariat entre Radio Grenouille et le géant de l’Internet a de quoi surprendre.
Suivre l’effet des premiers rayons du soleil sur la ville et la nature environnante. Parcourir le globe au fur et à mesure de l’avancée du jour. Entendre le monde se réveiller vingt-quatre heures durant. C’est la jolie idée de Reveil, samedi 3 mai 2014 à partir de l’aurore londonienne (4h30 heure universelle).