Christine Groult est l’une des figures majeures de la Musique Concrète en France. Alors qu’elle s’apprête à prendre sa retraite de la classe d’électroacoustique du Conservatoire de Pantin, qu’elle dirige depuis plus de vingt ans, nous sommes allés visiter le studio de composition et partager une conversation ouverte avec elle et quelques-un·e·s de ses étudiant·e·s : Gaël Segalen, Jules Wysocki, Solveig Risacher et Marie Guérin. Il y est question d’enseignement, d’écoute, d’un peu de l’histoire de la musique électroacoustique et du temps, précieux, que demande la création.
Commençons par les présentations. Comment arrive-t-on dans une classe d’électroacoustique et que vient-on y chercher ?
Gaël Segalen :
Je suis arrivée ici il y a trois ans. J’ai choisi cette classe de composition parce qu’elle est tenue par Christine. J’ai eu confiance dans le fait que mon expression n’y serait pas formatée, mais plutôt encouragée dans sa singularité.
Depuis 10 ans j’ai ma pratique d’artiste sonore, et avant ça j’ai été ingénieure du son pour le cinéma et à Radio France Internationale. J’ai fait l’expérience de plein de métiers différents dans le son et j’ai vécu à l’étranger avant d’arriver ici. Après une nuit à l’Audible Festival1 à l’écoute de l’intégrale de Gaku-No-Michi de Jean-Claude Eloy, j’ai eu le déclic. J’ai décidé d’appeler le conservatoire… Les entretiens se tenaient pile le lendemain.
Jules Wysocki :
J’ai eu quinze ans de pratique de la batterie avant des études d’ingénieur du son, qui m’ont amené à devenir monteur son et mixeur au cinéma. J’ai renoué avec la musique par le biais du cinéma, en cherchant à faire émerger la musicalité dans le travail de montage.
Mon premier contact avec l’électroacoustique fut un concert de Pierre Henry. Je ne savais pas qui était cet homme ni ce qu’était un acousmonium2, mais j’avais utilisé mes premières heures d’intermittence pour composer un peu avant. Ça m’a décidé à prendre les dernières pour lire Pierre Schaeffer, Bernard Parmegiani, Pierre Henry ; et puis Luc Ferrari, qui m’a tout de suite interpellé par sa dimension cinématographique et radiophonique. Un an plus tard, j’intégrais la classe de Christine.
Solveig Risacher :
Je suis monteuse de film et ici depuis deux ans. En 2001, je voulais déjà mettre en avant la perception sonore dans mon film de fin d’études de cinéma et ma prof, qui avait travaillé à l’ORTF et connu Schæffer, m’a fait rencontrer François Bayle3… Finalement je n’ai jamais terminé le film et j’ai continué comme monteuse, mais l’intérêt pour le travail sonore est resté. Je me suis dirigée ensuite vers le documentaire radiophonique, j’ai fait des stages à Arles avec Phonurgia Nova et auprès de Bernard Fort au GMVL. C’est au cours d’un de ces stages que j’ai rencontré deux étudiantes de Christine qui m’ont parlé de la classe, c’est là que j’ai réalisé que c’était exactement ce que je voulais faire.
Marie Guérin :
Je viens de la radio. J’ai été réalisatrice à France Inter. J’avais le sentiment que mon métier, c’était d’écrire, d’utiliser une grammaire radiophonique pour mettre en ondes le projet des autres. J’aimais beaucoup ce travail d’écriture au quotidien, et j’allais très loin, j’insufflais quelque chose de très personnel, au point de déborder de mon rôle. Mais ça a été une super école.
C’est aux Quartz4 que j’ai vu Christine et Marco Marini [son assistant au conservatoire, NDLR]. J’avais déjà entendu parler de cette musique : Schaeffer était une référence incontournable à Radio France et je connaissais les restaurateurs de l’INA qui travaillaient sur ses archives et celles de Bayle… Tout ça faisait déjà partie de mon univers, mais il me manquait encore l’espace et les conditions pour m’y mettre, ce que j’ai trouvé aujourd’hui. Par contre, je continue d’être fanatique de la mise en ondes.
Christine Groult :
Je suis beaucoup plus vieille, alors ça va être long ! Quand j’ai eu douze ans, j’ai demandé comme cadeau de communion d’avoir un magnétophone. Je vivais à la campagne et ma mère était gravement phobique : dès qu’elle me perdait de vue, j’étais morte…
J’ai très petite commencé à désobéir et à m’échapper, et comme je désobéissais j’avais très peur ! J’ai commencé à faire attention à la moindre alerte. Cette sensibilité, cumulée au magnétophone, ça a fait une vocation.
Ensuite j’ai beaucoup écouté la radio, j’ai l’impression que France Culture m’a formée, je l’écoutais à longueur de journée. Ça m’a conduite à Schaeffer, parce que dans les années 60, il y avait énormément d’électroacoustique à la radio, elle était portée par les médias, on trouvait même des disques de Pierre Henry dans les gares.
Bien formée par la radio et les écrits de Schaeffer, j’ai voulu faire de la musiqu,e mais l’état d’esprit des Conservatoires me correspondait peu, je suis donc passée par la musicologie à la Sorbonne. C’est là que je suis tombée sur une annonce pour le concours du Groupe de Recherches Musicales. Je l’ai présenté et je l’ai eu. Puis en 1972, le Conservatoire de Pantin s’est créé sur un principe très expérimental et j’y suis tout de suite venue. C’était un lieu extraordinaire et passionnant : on avait des cours d’esthétique, d’expression corporelle, de théâtre, d’orchestration. On n’y faisait jamais de solfège sans l’associer à un instrument.
J’étais élève en électroacoustique, l’un des premiers studios pédagogiques en France, je suivais des ateliers avec Luc Ferrari, Alain Savouret… Dix ans plus tard, en 1982, il y a eu un clash : la mairie communiste, qui avait pourtant créé ce conservatoire, a décidé de changer d’équipe. Tous les profs ont été remerciés sous prétexte d’élitisme, on préférait finalement faire jouer la Lettre à Élise. Mais le studio, un ancien ring de boxe situé dans une annexe, s’est par chance maintenu. J’en ai repris la classe en 1990, continuité étonnante : il y a encore les machines du temps où j’étais élève.
Justement, face à ce paysage culturel qui a énormément changé, tant en termes de reconnaissance et de financement que de techniques et de canaux de diffusions, comment des créatrices et des créateurs sonores, jeunes ou moins jeunes, se projettent-ils/elles aujourd’hui pour donner à entendre leur musique ?
Jules Wysocki : Avec mes premiers salaires de longs-métrages, j’ai investi dans douze casques, en me disant que ça serait mon instrument. J’avais composé trois premières pièces seul et en autodidacte. Pour moi, il était très important de pouvoir les diffuser de manière autonome : quoi qu’il arrive je suis en mesure de pouvoir créer un petit îlot de diffusion. Le cinéma est ce qui me permet de vivre et ce qui me rend indépendant. Même si les deux activités tendent à se confondre, on fait appel à moi pour ma double compétence de technicien et de créateur.
Christine Groult : Notre musique est une musique de support et c’est ce qui lui donne une grande liberté, parce qu’au fond elle peut être diffusée partout. Si on a de l’argent, on peut faire des installations monumentales, mais on peut aussi se mettre dans la rue avec douze casques. C’est ce qui est génial, on peut s’adapter à plein de situations différentes, à condition de se poser la question de l’écriture pour le support et pour le haut-parleur.
Jules Wysocki : Ça ne m’empêche pas d’être très soucieux de savoir comment faire pour en vivre, comment obtenir les moyens d’aller au-delà de la débrouille, et comment faire pour que les canaux référentiels comme Radio France puissent être réinvestis par des formes sonores de création. Il ne faudrait pas s’en remettre uniquement à des modèles d’auto-financement. On donne du temps, de l’argent, c’est très bien mais en réalité on ne devrait pas avoir le faire !
Christine Groult : Il y a un constat social et politique à faire, si on va aujourd’hui vers la fin d’une culture subventionnée, ça signifie qu’on considère que la culture n’est plus quelque chose de nécessaire. Pourtant les exemples de partage de la culture avaient un sens : le parti communiste a été admirable à ce niveau, et les maisons de la culture de Malraux ont aussi laissé des traces positives que l’on ressent encore. Je l’ai vécu à Chalon-sur-Saône, où j’ai dirigé le studio électroacoustique pendant quelques années.
Gaël Segalen : Je pense qu’il y a eu une appropriation malhonnête de la part d’une certaine classe dominante, qui a décidé à un moment que la musique électroacoustique était une pratique élitiste. Ça participe d’une haine des intellectuels et de tous ceux qui prennent ce temps de la recherche, de la peur du bruit, de tout ce qui est nouveau. C’est grave, car il s’agit de l’écoute du monde et des autres.
Dans ces transformations du paysage culturel, et ce passage d’une culture à la Malraux, dispensée « d’en haut », à notre époque où chacun devient un peu créateur-trice bénévole sur Internet, n’y a-t-il pas aussi des effets positifs à voir, de nouvelles influences, de nouvelles références ?
Gaël Segalen : C’est vrai qu’il y a des choses qui ressurgissent partout, des intros bruitistes dans les morceaux de hip-hop. Et des festivals comme Présences électronique5, qui drainent énormément de public. Quant à Internet, ça permet d’établir des communautés humaines, de construire de réelles collaborations, même si c’est à des milliers de kilomètres. Il y a des plateformes où l’on peut travailler en temps réel, échanger les sessions de travail de nos logiciels, ce sont des outils précieux. Si on veut être positif, il faut aborder la manière dont la technologie et la démocratisation des outils nous libèrent et nous offrent de l’indépendance, même pour ceux qui n’ont pas beaucoup de moyens ou qui sont isolés.
Marie Guérin : Toi, Christine, comment tu vois ce qui se passe avec tes étudiants plus jeunes, qui ont des références électro et autre chose dans les oreilles, par rapport aux gens de ta génération et de la Musique Concrète ?
Christine Groult : Oui, il y a des différences. Aujourd’hui, les outils sont les mêmes pour tout le monde. Nous, on avait le magnétophone, c’était cher, tout le monde ne pouvait pas y accéder. La démocratisation des outils a apporté quelque chose, mais on n’a jamais du positif sans le négatif : d’un certain côté, ça banalise tout. L’expression artistique reste un vrai travail, et l’enseignement est encore plus nécessaire avec toutes ces nouveautés, car on tourne vite en rond quand la technique devient un but en soi.
Dans le cadre d’un enseignement électroacoustique, comment apparaissent ces questions de l’évolution des outils et des techniques ?
Christine Groult : Il y a un véritable apprentissage de l’audionumérique et de sa technique, pour moi c’est la base pour profiter des outils actuels. Mais il y a surtout un enseignement théorique, une approche du son sous différents aspects, notamment esthétiques : acousmatique, paysages sonores, phonographies, acoustique… On n’attache pas d’importance à tel ou tel logiciel parce qu’on n’est pas une classe de M.A.O.6 C’est l’expression artistique qui compte. Le son est notre medium, comme la pierre pour le sculpteur, mais il y a aussi une écriture de support, comme le montage pour le cinéma. On opère des coupures, de multiples transformations, c’est un ensemble d’opérations fondamentales, de techniques qu’il faut connaître, interroger, inventer et transgresser.
Je fais des cours de création musicale électroacoustique. Cela consiste à zoomer sur des techniques particulières de l’écriture de support. Par exemple, on va prendre le « micro-montage » en partant d’exemples musicaux pour l’illustrer. Que peut-on faire de minuscules petits bouts de sons, qui vont de la granulation jusqu’au montage morphologique ? L’enjeu n’est pas dans la technique ou la manipulation mais dans l’expressivité qu’elle va engendrer. Si on fait de l’élongation temporelle, ça n’est pas pour s’extasier sur l’Elastic-Audio7, mais pour se demander comment s’en servir en tant qu’outil expressif, quel est son pouvoir évocateur…
Gaël Segalen : À chaque cours, tout le monde expose son travail. Il y a une mise à nu d’emblée : écoutes, retours, conversations, remises en question…
Christine Groult : En cours, on parle, on lit et surtout on s’étonne. On s’interroge sur la valeur poétique, symbolique ou métaphorique des mots et on se demande comment on va les incarner dans un processus musical. Si l’on utilise des sons microphoniques, par exemple, il y a le danger d’en rester au niveau prosaïque et immédiat, de penser qu’il suffit d’enregistrer des sons d’eaux pour travailler le thème de l’eau. En réalité ce sont les différentes associations et interprétations qui vont stimuler l’imaginaire et permette de passer du spéculatif au perceptif et de tisser les étapes de la réalisation musicale…
Jules Wysocki : Tu as aussi cette particularité d’accueillir des gens avec des profils très différents, et de ne pas être regardante sur l’esthétique des formes choisies. En tous cas, du moment qu’on puisse te l’expliquer, te faire comprendre ce qu’on a en tête.
Christine Groult : Oui, finalement c’est de l’accompagnement, mais c’est un accompagnement collectif. Ce que j’apporte ce ne sont que quelques références en plus, et aussi un cadre précis : il y a deux musiques à composer par an et ça n’est jamais arrivé que quelqu’un n’y aboutisse pas.
Quelques œuvres sonores de Marie Guérin, Jules Wysocki, Solveig Risacher, Gaël Segalen :
Ce cadre, c’est principalement se donner du temps ? Le temps de la création ?
Christine Groult : C’est ça. Plus ça va et plus c’est dur de créer. Notre époque n’est pas du tout tournée vers la belle fabrication. On est dispersé, on manque de temps, d’espace, de moyens. Tout est contraire à la création.
Gaël Segalen : Finalement, ce que l’on vient chercher ici, c’est un espace privilégié. On fait tous des tas de choses à côté et Christine accepte cette réalité, mais quand on arrive, on se pose pour quatre heures, avec une vraie qualité d’échange et de conversation.
Marie Guérin : Et je sais que c’est quelque chose qui manque à tous les élèves qui en sortent. Pour composer, c’est beaucoup plus dur après.
Christine Groult : C’est un terme un peu galvaudé, mais j’aime bien parler de « qualité humaine », je crois que c’est ce qu’on a ici, et qu’on peine à trouver dans la vie. Rien d’important ne peut se transmettre sans présence des uns aux autres.
Dans notre société pressée où une technique chasse l’autre, où les connaissances se multiplient à l’infini, je crois que c’est avant tout la qualité de la relation qui permet la transmission. Je sens effectivement que les étudiants ont de moins en moins de temps à consacrer à la création.
Je vais bientôt arrêter de me poser la question parce que je vais partir à la retraite, mais je trouve que c’est un vrai problème. Et les nouveaux de cette année, c’est pire que vous ! C’est inquiétant parce que l’art demande du temps, c’est un lent et long chemin pour construire notre humanité.
Il y a peut-être là quelque chose qui a à voir avec le fait de retrouver le temps et le rythme du corps, de la perception et de l’expérience, alors que la vie urbaine ou connectée a tendance à nous désincarner, à nous disperser ?
Christine Groult : C’est ce qu’on essaye de construire ici : notre temps, c’est celui de l’écoute. La musique est le plus exigeant des médiums parce qu’elle implique de se mettre dans le temps de l’écoute.
Finalement le travail le plus important que vous menez ici consiste à fabriquer ce temps de l’écoute… Vous y consacrez beaucoup de temps dans la classe. À quel rythme proposez-vous aussi des choses à un public extérieur ?
Christine Groult : Deux fois par an. Autrefois c’était plus, mais j’ai un peu moins d’énergie maintenant, et surtout c’est devenu beaucoup plus compliqué. La mairie a récupéré la gestion de l’auditorium alors qu’avant il était toujours libre pour nous. C’est une particularité du studio de Pantin d’avoir à la fois l’auditorium accolé au studio et un acousmonium de vingt haut-parleurs. Aujourd’hui je dois systématiquement négocier l’accès. Depuis une petite dizaine d’années, je dois militer pour défendre un certain nombre de valeurs. L’enseignement de la création dans l’institution a toujours été difficile. J’y aurais consacré ma vie, mais toujours avec des problèmes de liberté.
Gaël Segalen : Si on parle de militer et de résister, il faut aussi qu’on parle de cette question du féminisme…
Christine Groult : Ce qu’il faut dire c’est qu’à Pantin, le fait que je sois une femme a attiré plus de femmes dans la classe. J’ai toujours fait attention à l’équilibre des genres, parce que ça rend le travail plus intéressant. En tant que compositrice, je n’ai jamais vraiment été féministe parce que j’ai toujours été dans l’action et du côté du travail. Bon, au GRM je n’étais pas toujours à l’aise, c’était un monde très masculin… À Pantin ensuite, aucun souci, tout était très ouvert. C’est plus tard, à l’IRCAM, que je me suis rendue compte qu’il y avait des problèmes ! Dans les studios j’entendais des réflexions : « les femmes n’ont pas l’esprit de synthèse » ; les compositeurs ou les scientifiques me prenaient pour l’hôtesse d’accueil, pour eux une femme ne pouvait pas être autre chose…
Plus je vieillis et plus je comprends les difficultés auxquelles je me suis confrontée. Au final, j’ai toujours eu mes postes, mes commandes et mes concerts, mais j’avais aussi beaucoup de contraintes, de doutes. Je me sentais toujours responsable de mes ratés, alors que je comprends maintenant que personne ne me facilitait la tâche. Heureusement j’ai aussi rencontré des milieux ouverts, l’équipe de Pantin a été très structurante et fortifiante, au début. Michel Decoust, qui avait créé le conservatoire expérimental, a été mon père musical, il m’a fait confiance et m’a énormément soutenue.
Je constate qu’aujourd’hui encore les filles doutent beaucoup plus, et il y en a d’ailleurs beaucoup moins qui continuent par la suite. C’est quelque chose à questionner…
Les garçons, au contraire, sont élevés pour avoir toujours un avis sur les choses, ils parlent à la place des gens avec assurance, ils s’imposent, on leur donne plus facilement la parole. Les choses bougent, mais parfois on se demande si ça va dans le bon sens. Rien n’est jamais gagné.
Extrait du concert de Christine Groult et Beatriz Ferreyra au Festival Présences électronique en mars 2014 à Paris
Si vous avez la chance d’habiter en Île de France, retrouvez les étudiants-compositeurs et les étudiantes-compositrices de la classe de Christine Groult en concert les 17 et 24 mars 2015 à 20h à l’Auditorium, 42 avenue Édouard-Vaillant 93500 Pantin. Entrée gratuite.
Notes :
1 L’Audible Festival est organisé depuis 2011 par le Théâtre de l’Échangeur (Bagnolet) et les Instants Chavirés (Montreuil), et programmé par Jérôme Noetinger. 2 Un acousmonium est un orchestre de haut-parleurs. Destiné à diffuser des pièces de musique composées pour support, comme la musique électroacoustique, l’acousmonium est disposé autour du public et « joué » par un·e interprète. Voir la fiche Wikipedia. 3 Compositeur, successeur de Pierre Schaeffer à la tête du Groupe de Recherches Musicales de 1966 à 1997. 4 Les Quartz Electronic Music Awards se sont tenus jusqu’en 2013 à Paris sous la forme d’un salon et d’un concours. 5 Festival organisé chaque année au 104, à Paris, par l’INA/GRM : Présence électronique. 6 Musique assistée par ordinateur. Voir la fiche Wikipedia. 7 Module informatique qui permet de jouer sur la durée d’un échantillon sonore sans modifier sa hauteur.
Bonjour
je suis intéressée à faire un stage d’électro-acoustique avec Christine, mais je ne vois pas l’adresse sur le journal canal de Pantin.
Pouvez-vous me le communiquer s.v.p.
merci
carmen
Bonjour. Cet article date de 2015. De quel stage parlez-vous ? Un stage à venir ?