« L’idée, c’est que tu me répondes comme si je te posais pas de questions. » (Par Matthieu Crocq en 2007)
« Je déteste ça ! » Pierre Tchernia au micro de Thomas Baumgartner en 2004.
« L’idée, c’est que tu me répondes comme si je te posais pas de questions. » (Par Matthieu Crocq en 2007)
« Je déteste ça ! » Pierre Tchernia au micro de Thomas Baumgartner en 2004.
Dommage le lien avec le son « Sans Réponses » de Matthieu Crocq ne fonctionne pas.
Nouvelle tentative avec Safari… pour le coup aucun des deux sont ne fontionne.
Si le retrait de la voix du journaliste promet une transparence nouvelle, ça veut dire que, pire qu’un « bon client », c’est une « belle personne » qu’on nous promet !?
Réponds-moi comme si je te posais pas de questions : fais ta preuve de personne très étonnante alors que beaucoup anonyme.
(Mais il s’est passé quand même beaucoup d’autres choses sur Arte Radio…)
Hello ! Le son « Sans réponses » ne marche pas non plus pour moi, je l’ai pourtant testé avec différentes versions de Firefox et de Safari sous Mac OS 10.5.8 (sur MacBook) et 10.4.11 (sur PowerPC G5)… J’ai prévenu l’équipe d’Arte Radio. En attendant que ce soit réparé, vous pouvez l’écouter en chopant directement le MP3 ici :
http://download.arteradio.com/sons/17ouraposansreponse_hq_fr.mp3
A+
Matthieu
Sur I.E j’ai pu écouter Matthieu Crocq. D’une manière probablement très élémentaire, j’appellerais cela un dialogue de sourds, non ?
Quant au « je déteste » de Pierre Tchernia, il a dû booster Thomas Baumgartner qui n’en est pas resté là !
Oui, Etienne, je pense à plusieurs choses : le fait qu’ARTE Radio a permis de penser le podcast comme différence de statut (une idéologie du stock) par rapport aux logiques de flux, a bien spécialement délié le genre du format (dans les ondes hertziennes : docu = 52′, témoignage = telle heure de la journée, et il y est encore bine difficile de poser l’idée qu’un format court puisse être un contenu créatif). Et le genre n’est pas prescripteur : dans l’onglet « Chroniques », on trouve toute sorte d’expériences. La limite, c’est peut-être alors le côté « consumériste », le fait qu’une bonne idée n’est réalisée qu’une seule fois. Il y aurait aussi à dire sur les formes et les solutions alternatives aux musiques propriétaires dans l’agencement des formes longues. Mais je me suis déjà exprimé là-dessus.
Il faudrait vérifier les dates. Mais en matière de délinéarisation des grilles hertziennes dans d’autres associatives que Grenouille, je pense à Radio Grille Ouverte, Plum FM et Radio Bienvenue Strasbourg. Et sans compter les programmes de nuit de bien d’autres associatives déjà à l’époque où les bandes de nuit étaient sur K7.
Sur les musiques non-propriétaires, c’était au colloque « narration » du GRER à Bruxelles il y a deux-trois ans.